peut on avoir des rapport avec un cancer du col de l’utérus
Déja, il faut savoir que le cancer du col de l’utérus, touche le plus souvent les femmes ménopausées que celles pré-ménopausées. En effet, aujourd’hui bon nombre de femmes évitent d’avoir un enfant tôt et donc retardent la conception. Mais, en faisant ainsi, cela peut facilement conduire au cancer du col de l’utérus. D’ailleurs, c’est même la raison pour laquelle beaucoup de femmes pré-ménopausées, en souffrent de nos jours même s’il faut reconnaitre que les plus touchées sont les ménopausées.
Vous en souffrez ?
Vous vous demandez si cela peut avoir une incidence sur vos chances de tomber enceinte et d’accoucher ?
Alors, sachez que OUI! c’est bien possible. Cependant, il faut reconnaitre qu’en vérité, tout dépend du traitement que vous suivez car OUI, de nombreux traitements conduisent à une infertilité permanente.
Mais dans tout cela, il faut savoir que vous avez des traitements efficaces pour le cancer du col de l’utérus si vous souhaitez tomber enceinte ou êtes déja enceinte. Alors, si vous souhaitez malgré tout tomber enceinte, alors sachez que OUI! l’espoir est permis.
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Cancer du col de l’utérus : les traitements standards
Avant toute chose, il faut savoir que les traitements standards du cancer du col de l’utérus notamment l’hystérectomie, qu’elle soit simple ou radicale ainsi que le rayonnement pelvien, conduisent tous deux à une stérilité permanente.
Vous souhaitez préserver votre fertilité ?
En dehors, des deux (02) précédents options, si vous en êtes encore à un stade précoce et souhaitez économiser vos chances de fertilité, votre médecin peut vous proposez la << trachélectomie >>. En clair, votre col de l’utérus sera retiré mais pas l’utérus, mais il en est ainsi que lorsqu’elle est simple.
D’autre part, elle peut toutefois être radicale.
Trachélectomie radicale
Il faut reconnaitre qu’il est rare d’y recourir puisque très peu de patients répondent aux critères de cette méthode. D’ailleurs, une bonne majorité des médecins référents n’en savent pas beaucoup à propos car ils préfèrent les méthodes les plus courantes ou conventionnelles.
Aussi, il faut reconnaitre que chirurgicalement, cette approche est très complexe comparée à une hystérectomie standard. D’autre part, tous les spécialistes ne sont pas capables de la réussir et de préserver votre fertilité ; ce qui est d’ailleurs le but.
Vous êtes prête pour ?
Alors, sachez que les critères de cette procédure comprennent :
- la taille de la tumeur ;
- tous métastases ou propagations de la maladie à l’imagerie ;
- le type de cancer ;
- et d’autres suivant le patient
Trachélectomie radicale : Comment se déroule t-elle ?
Déja, il faut savoir qu’elle peut être fait de façon :
- vaginale ;
- abdominale ;
- abdominale ;
- robotique ;
- ou mini-invasif
Très souvent, les chirurgiens optent pour une incision sur le ventre ou pour plusieurs incisions plus petites. Dans le même temps, il faut reconnaitre qu’ils procèdent également la chirurgie de façon invasive.
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Comme vous le savez, la chirurgie demande une dissection particulièrement minutieuse mais, il faut reconnaitre que lorsque tout est bien fait, cela maintient l’utérus viable en éliminant le cancer du col de l’utérus. Parmi, les étapes qui y sont impliquées :
- le chirurgien dissèque l’utérus en gardant bien sur l’afflux du sang invariable ;
- ensuite, il sépare le col de l’utérus ;
- tertio, il place un cerclage ou point autour de la base de l’utérus afin de garantir la fertilité, très important ;
- pour finir il procède à la reconstruction de l’utérus jusqu’au sommet du vagin
Trachélectomie : Les effets possibles auxquels vous vous exposez
1 – Les effets secondaires à court terme
Ils peuvent se manifester dès la fin de l’opération ou quelques semaines plus tard. Vous pouvez donc avoir des :
- douleurs ;
- saignements ;
- infections ;
- troubles de la vessie, comme ne pas être capable de vider sa vessie complètement ;
- relations sexuelles douloureuses ;
- pertes vaginales ;
- engourdissements au niveau des cuisses ;
- menstruations irrégulières ou douloureuses
2 – Les effets secondaires à long terme
A long terme, c’est-à-dire après des mois, années voire plus longtemps, vous pouvez avoir une accumulation de lymphe dans vos jambes ou abdomen puisqu’on vous a retiré les ganglions lymphatiques. D’ailleurs, on en parle comme d’un lymphœdème.
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Aussi, vous pouvez ne plus contrôler vos envies d’uriner : c’est une incontinence urinaire. De plus, vous pouvez également avoir des troubles de fertilité ainsi que de grossesse puisque le col de l’utérus vous a été enlevé.
Par ailleurs, le tissu de l’utérus au niveau de la partie traitée, peut rétrécir, ce qui va rendre le passage des spermatozoïdes ainsi que la fécondation d’un ovule, très difficile.
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Or, d’une part, comme vous le savez s’il n’y a pas fécondation d’ovule, il peut pas y avoir de libération d’un œuf au niveau de la trompe de Fallope.
D’autre part, si les spermatozoïdes ne sont pas en mesure d’atteindre l’ovule qui serait fécondé, alors il n’y aura toujours pas de libération d’œuf au niveau de la trompe de Fallope.
C’est ce œuf qui lorsque libéré va se développer au niveau de l’utérus, grandit puis devenir embryon, fœtus et donnez bébé.
Maintenant, et si vous arriviez à tomber enceinte après une trachélectomie ?
Déja, OUI! vous pouvez tomber enceinte après une trachélectomie. Cependant, il faut que vous sachiez que le risque de fausses couches ainsi que de d’accouchement prématuré est très élevé. C’est triste mais c’est la réalité. Vous devriez donc accoucher par césarienne plutôt que naturellement, par voie vaginale.
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peut on avoir des rapport avec un cancer du col de l’utérus
Il n’existe pas de généralités sur la sexualité pendant le traitement d’un cancer du col de l’utérus, car la possibilité de conserver ou non une activité sexuelle dépend de chaque protocole de traitement et de chaque patiente.
On peut considérer que les traitements systémiques (chimiothérapie) et/ou hormonaux, associés à l’anxiété causée par l’annonce d’une maladie grave et la crainte des effets secondaires de thérapies agressives, tendent à impacter la libido, mais n’entraînent pas de désordres locaux importants.
Dans ce cas, il n’y a pas de contre-indication au maintien d’une activité sexuelle, mais le dialogue avec le partenaire, la prise en charge de certains effets secondaires, voire un accompagnement psychologique, peuvent être nécessaires.
À l’inverse, les traitements locaux abrasifs (chirurgie, radiothérapie interne, etc.) peuvent causer des lésions locales susceptibles de rendre les rapports sexuels douloureux, voire dangereux. Dans ce cas, ils sont tout à fait proscrits durant le traitement.
L’activité sexuelle pendant une chimiothérapie
Vous êtes sous chimio ?
Alors, sachez qu’ils peuvent avoir des effets secondaires à même d’entraver le maintien d’une activité sexuelle épanouie lorsqu’ils ne sont pas pris en charge. On peut citer entre autres :
- la sécheresse vaginale : un effet indésirable courant de la chimiothérapie car l’absence de lubrification peut rendre les rapports inconfortables, voire douloureux ;
- une grande fatigue et un mal être général (nausée, vomissement, etc) pouvant mettre à mal la libido des patientes.
Il est important d’échanger avec un professionnel si vous ressentez des effets secondaires, quand bien même ils seraient considérés comme « normaux » (fatigue, nausée, douleurs, etc.).
Des traitements locaux ou systémiques, qui ne sont pas nécessairement médicamenteux, peuvent les atténuer ou les supprimer efficacement pour permettre aux patientes de retrouver une bonne qualité de vie et une sexualité épanouie.
L’activité sexuelle pendant une radiothérapie du col de l’utérus
En effet, il faut savoir qu’externe, elle peut rendre la zone irradiée particulièrement sensible, et altérer les sensations et le fonctionnement des organes traités.
Les effets secondaires locaux et systémiques provoqués par ce traitement sont semblables à ceux de la chimiothérapie :
- sécheresse vaginale ;
- fatigue ;
- mal-être, etc
À nouveau, il est généralement possible de prendre efficacement en charge ces effets secondaires, il ne faut donc pas hésiter à échanger à ce sujet avec un professionnel.
De plus, le maintien d’une activité sexuelle durant un traitement par radiothérapie externe peut être conseillé pour réduire les risques de séquelles durables, et notamment de sténose du vagin.
NB : Il faut savoir que la radiothérapie interne, ou curiethérapie, ne permet pas de conserver une activité sexuelle durant le traitement, car elle est localement abrasive.
L’activité sexuelle et le traitement chirurgical du cancer du col de l’utérus
Les traitements chirurgicaux ne permettent pas de conserver une activité sexuelle avec pénétration tant que le site opéré n’a pas correctement cicatrisé.
La cicatrisation complète de la zone opérée met habituellement 4 à 8 semaines, en fonction du type d’opération effectuée.
Il est bon d’attendre le feu vert du chirurgien pour reprendre une activité sexuelle après une chirurgie gynécologique afin de ne pas mettre en péril le bon déroulement de la cicatrisation.
La sexualité après le traitement du cancer du col de l’utérus
La reprise d’une activité sexuelle à la suite du traitement d’un cancer du col de l’utérus peut être très anxiogène.
Une variété de barrières, tant physiques que psychologiques, sont en effet à même d’entraver le retour à une sexualité épanouie.
Après une chirurgie, il est essentiel d’attendre la cicatrisation complète de la zone opérée avant tout rapport sexuel impliquant une pénétration.
La période de convalescence s’étend généralement sur 4 à 8 semaines, mais peut durer plus longtemps en cas de radiothérapie adjuvante.
La radiothérapie et la chirurgie peuvent également engendrer la formation de tissu cicatriciel douloureux, sensible ou modifiant la souplesse et le volume du vagin. Ces lésions sont généralement réversibles, mais des traitements sont parfois nécessaires.
Si bien des patientes peuvent craindre de subir de nouveaux traitements après les thérapies agressives et épuisantes nécessaires pour lutter contre le cancer, il convient de noter que, dans ce cas précis, les traitements sont le plus souvent mécaniques (rééducation, dilatation vaginale mécanique, etc.).
L’ablation de l’utérus n’a généralement pas directement de conséquences hormonales impactant la libido, car les ovaires, qui produisent les hormones sexuelles, sont habituellement laissés en place chez les femmes non ménopausées.
Quand ils sont ôtés, chez les femmes ménopausées, ils ne fonctionnent déjà plus entièrement avant l’opération, ce qui amoindrit les effets de leur ablation.
Lorsque les ovaires sont ôtés ou que des troubles hormonaux surviennent, une médication à base d’hormones de synthèse peut être mise en place pour aider les patientes à retrouver leur libido.
En tout état de cause, après le traitement d’un cancer du col de l’utérus, la libido des patientes est plus volontiers impactée par leur état psychologique.
De plus
Les modifications physiques causées par les thérapies agressives peuvent nuire à leur confiance en elles, les cicatrices laissées par les différents traitements peuvent entretenir une appréhension du rapport sexuel, et la crainte d’un retour de la maladie peut simplement occuper toutes leurs pensées.
Dans ce cadre, les patientes peuvent avoir besoin d’un appui psychologique professionnel, du soutien de proches ou de l’aide d’associations pour parvenir à surmonter l’épreuve du cancer et réapprendre à vivre avec un corps transformé.
En fonction des thérapies mises en œuvre pour lutter contre le cancer du col de l’utérus, le maintien d’une sexualité durant le traitement n’est pas toujours possible.
Les thérapies locales, et notamment la chirurgie et la radiothérapie, exigent en effet plusieurs semaines de repos complet pour cicatriser correctement.
En l’absence de thérapies abrasives, ou lorsque celles-ci sont terminées et que les tissus ont cicatrisé, il est toutefois possible de conserver ou retrouver une activité sexuelle épanouie.
Lorsque la patiente est confrontée à des difficultés physiques ou psychologiques pour retrouver une sexualité harmonieuse, elle ne doit pas hésiter à se tourner vers son équipe médicale pour bénéficier d’une prise en charge adaptée.
D’autre part ,
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